Entretien avec Jacques Testart : « Toutes les promesses transhumanistes apparaîtront dérisoires lorsque nous n’aurons plus à manger ! »

Le besoin de maîtriser le vivant humain est une obsession chez les transhumanistes. Les transhumanistes ne s’intéressent pas à un autre être vivant, sauf s’il offre un intérêt pour améliorer l’homme. Or, la maîtrise de l’humain, et moins encore celle du vivant, n’existent pas.

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UNIR AU LIEU DE DIVISER !

Source photo : GERARD BOTTINO

Taxe carbone, écotaxe pour les poids lourds, lorsque l’écologie entre dans le débat public, elle divise souvent les citoyens. Les manifestations des gilets jaunes le confirment une nouvelle fois. Le choix des réformes politiques et les thématiques mises en avant par les principaux médias focalisent en grande partie sur le transport individuel ou routier. Nous oublions des sujets cruciaux pour l’avenir de l’humanité comme l’eau ou les semences, sans lesquelles il ne peut y avoir de survie. Des thématiques environnementales qui rassembleraient davantage chacune et chacun d’entre nous. Des réformes politiques pour protéger l’eau ou les semences feraient sans doute l’unanimité auprès de la population, tant d’un point de vue écologique qu’économique.

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Les nouveaux OGM : le principe de précaution respecté !

La Cour de Justice de l’Union européenne a rendu, le 25 juillet 2018, un arrêt historique. Elle a notamment souligné qu’une exemption des obligations de la directive 2001/18 « des organismes obtenus au moyen de techniques/méthodes de mutagénèse, sans distinction aucune, compromettrait l’objectif de protection poursuivi par ladite directive et méconnaîtrait le principe de précaution que celle-ci vise à mettre en œuvre ». Elle estime donc que cette exemption est limitée dans le temps, aux techniques antérieures à la directive et qu’ainsi tous les nouveaux OGM sont à réguler comme les plantes transgéniques [1]. C’est une victoire du principe de précaution…

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Les semences : un changement de réglementation difficile à obtenir.

Le conseil constitutionnel a, pour la deuxième fois, censuré un article de loi permettant de vendre librement toutes les semences, même celles qui ne sont pas inscrites au catalogue officiel, à des non professionnels. Selon plusieurs sources proches du dossier, le conseil constitutionnel serait devenu un lieu de lobbying important, loin de tout principe démocratique.

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