Notre objectif est de faire émerger de l’inefficace excès d’informations ce que tout citoyen devrait connaître.

Pour chaque enquête, tous les acteurs clés  sont interrogés.
Toutes les données sont vérifiées en revenant à l’organisme à l’origine de la donnée.

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L’association Carnets d’alerte propose d’informer autrement sur des sujets cruciaux pour l’avenir de l’humanité. Nous enquêtons un an sur chaque sujet. Nous interrogeons plus de 80 de personnes par enquête : des associations, des chercheurs, des citoyens, les pouvoirs publics, des entreprises… Nous consultons des centaines d’études. Un travail journalistique réalisé sans publicité ni abonnement mais grâce à vos dons !

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Carnets d’alerte, le podcast, saison 2

Juliette Duquesne fait la synthèse de nos enquêtes approfondies. Produit par wave.audio, ce podcast vous fait également découvrir les coulisses de nos investigations.
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Et toujours disponible, la saison 1.

L’humain au risque de l’intelligence artificielle

Que cache au juste l’intelligence artificielle ? Les ordinateurs, en effet, n’ont ni intelligence propre ni états d’âme : ils sont surtout d’incroyables machines à calculer, à « avaler » des données. Les entreprises rivalisent d’imagination pour les récolter et tenter de cibler leur publicité. Certains États les utilisent pour surveiller les citoyens. L’art de l’indiscrétion est ainsi généralisé.

Présentée comme la solution idéale à de nombreux maux, l’intelligence artificielle a toutefois des limites, dont une essentielle : la pollution liée au numérique.  Vous pouvez trouver ce livre dans de nombreuses librairies ou sur ce site.

Lutter contre les idées reçues
Pourquoi des Carnets d'alerte ?
Pierre Rhabi

© Crédit photo Patrick Lazic

Dans le contexte d’une société planétaire dont le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle est déboussolée, des problématiques majeures sont comme ignorées, noyées dans un immense fatras de banalités et de querelles stériles. Nous faisons des projets sur la comète alors que les fondements de la survie sont, chaque jour, un peu plus sapés.

Pierre Rabhi

Immense gratitude et reconnaissance envers Pierre Rabhi qui nous a quittés le 4 décembre 2021 à l’âge de 83 ans.

Penseur, poète, écrivain, philosophe, Pierre Rabhi était -avant tout-  un homme d’action. Pionnier de l’agroécologie, il  a formé des milliers de paysans, notamment en Afrique, et a participé à  lutter contre la faim dans le monde.

Vivre mieux sans croissance

+ 0,3 %, + 1,1 %, + 2,5 %… Le taux de croissance est constamment attendu, décortiqué, invoqué, imploré, voire supplié.

Aujourd’hui et depuis quelques années, les mêmes journaux déplorent une croissance trop faible. Et pourtant, les mêmes journaux déplorent que la planète soit envahie de plastiques, que la biodiversité disparaisse, que le réchauffement climatique, la pollution des sols et de l’eau s’aggravent… sans établir aucun lien !

La croissance ne serait-elle pas plutôt la cause de ces multiples déséquilibres ? Avec 2 % de croissance par an, nous pourrons en 2100 consommer près de six fois plus de biens qu’aujourd’hui. »

L’eau que nous sommes, un élément vital en péril

En France, les pesticides sont présents dans la quasi-totalité des cours d’eau et des eaux souterraines. Au niveau mondial, l’agriculture consomme 90 % de l’eau.

« On refait avec la mer la même erreur qu’avec les ressources en eau douce, alerte Julie Trottier, chercheuse au CNRS. Il y a beaucoup d’eau dans la mer, mais elle n’est pas infinie. Le problème, c’est la saumure rejetée. De petites mers mortes risquent de se former le long des côtes, du fait de l’accumulation de saumure. Je suis farouchement hostile au dessalement de l’eau de mer. Cela signifie que la consommation n’est pas durable et que nous  refusons d’en changer. On réfléchit en termes de gestion de l’offre : plus nous aurons d’eau, plus nous en utiliserons. »

Les semences, un patrimoine vital en voie de disparition

75 % des variétés de semences ont disparu en un siècle.

« Les variétés du domaine public, c’est notre patrimoine commun. Il est inadmissible qu’elles aient été rendues illégales par une législation qui n’avait vocation qu’à assurer la standardisation de la production agricole », souligne Blanche Magarinos-Rey, l’une des rares avocates en France à défendre la cause environnementale.

Pour en finir avec la faim dans le monde

2, 8 milliards d’enfants, de femmes et d’hommes souffrent d’un manque de nourriture ou de micronutriments, soit près 40 % de la population mondiale.

« En Europe, l’agroécologie est parfois perçue comme une lubie de bobo. Mais, pour les petits paysans d’Afrique, elle réduit la dépendance et permet de produire à faible coût », souligne Olivier De Schutter, ancien rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à l’alimentation  (2008-2014)

Les excès de la finance ou l’art de la prédation légalisée

La taille du secteur bancaire européen est plus de 3,5 fois supérieure au PIB des pays européens.

« La financiarisation de l’économie a des répercussions très concrètes sur les salariés, les entreprises, les États, les citoyens, sur l’augmentation des inégalités, sur le prix des denrées alimentaires de base et même sur la nature. » Juliette Duquesne, Journaliste

Depuis 2017, les Carnets d’alerte sont passés dans de  nombreux médias : La Grande Librairie, France 2, France 3, C’est à vous, Lci, Xerfi, France Inter, France culture, FranceInfo, Interdit d’interdire, La Croix, Kaizen, Féminin Bio, Le Monde… ( retrouvez ces passages presse dans  l’onglet actualités)

Pour en savoir plus sur le parcours de Juliette Duquesne, n’hésitez pas à consulter : https ://www.julietteduquesne.fr 

Pour en savoir plus sur Pierre Rabhi, n’hésitez pas à consulter : https ://www.pierrerabhi.org

Pour les journalistes et la presse, veuillez contacter : Xavière Bourbonnaud, xaviere@lagencenouvelleculture.fr, 06 67 05 75 79

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